La rentrée est officiellement passée, mais les prochaines vacances de de la Toussaint et ensuite celles de Noël vont rapidement arriver. Pourquoi ne pas en profiter pour faire un rappel concernant les différents contrats de travail ?
Le contrat à durée déterminée
Le CDD est comme son nom l’indique prévu pour durer sur un laps de temps limité. Les sociétés s’en servent souvent pour effectuer un remplacement rapide d’un employé absent ou pour pouvoir gérer un pic d’activité. Le CDD peut également servir à remplacer les salariés parti en vacances et c’est là que cela intéresse les étudiants ! Vacances ou emploi saisonnier, il faut parfois choisir.
Lors de l’embauche en CDD, la société peut prévoir une période d’essai limitée à un jour par semaine de contrat à durée déterminée avec au maximum deux semaines, sauf si le CDD est de plus de six mois (dans ce cas cela sera d’un mois).
Pour un CDD, la durée du contrat peut s’étaler entre quelques heures et deux années.
Enfin, le CDD offre un avantage non négligeable via l’indemnité de fin de contrat qui représente au minimum 10% de la rémunération brute globale.
Le contrat de travail saisonnier
Ce contrat de travail à durée déterminée se trouve régulièrement dans des secteurs cyclique comme l’hôtellerie, la restauration ou l’agriculture. On retrouve donc de nombreuses offres de travail saisonnier pour la saison touristiques, pour les extras, les récoltes, cueillettes…
Contrairement au contrat à durée déterminée dont nous venons de parler, ce type de contrat ne doit pas respecter de durée maximale et permet à l’entreprise de fournir une échéance approximative. Toutefois, dans cette configuration le contrat nécessite une durée minimale d’emploi et définir la saison.
Pour finir le travailleur saisonnier ne reçoit pas d’indemnité lorsque le contrat prend fin, contrairement au CDD classique, ce qui lui fait perdre un avantage non négligeable.
Le contrat de travail temporaire
Dernier de l’étude, mais toujours dans les contrats temporaires, on ne le retrouve que dans le cadre de mission d’intérim.
Dans ce cas particulier, vous êtes salarié de la société de travail temporaire qui vous enverra en mission et s’occupera de vous payer. La durée de la mission peut être plus ou moins longue, en sachant que celle-ci ne peut être renouvelée qu’une seule fois.
Tout comme pour un CDD, vous recevrez l’indemnité de précarité, mais aussi une indemnité concernant les congés payés d’au moins 10%.
